Giulia Barzoni
Messages : 11 Date d'inscription : 12/12/2009 Pseudo : Paperback
| Sujet: GIULIA ♦ La dame du Carnaval. Sam 12 Déc - 17:00 | |
| JUST LEAVE INFORMATIONS, PLEASE
giulia bela barzoni PLAYED BY TAYLOR MOMSEN ▬ DIX-SEPT ANS, IATALIENNE. OH! QUE JE VOUDRAIS POUVOIR RENTRER EN MOI-MÊME COMME UN TÉLESCOPE! ▬ ALICE AU PAYS DES MERVEILLES. JE M'APPELLE GIULIA BELA BARZONI, DE MON NOM COMPLET. MAIS POUR VOUS CE SERA BELA. POUR TOUT LE MONDE EN FAIT. JE NE SUPPORTE PAS QU'ON M'APPELLE GIULIA. NE ME DEMANDEZ PAS POURQUOI. JE SUIS NÉE UN DOUX QUINZE AVRIL 1992 À VENISE. J'AI DONC AUJOURD'HUI DIX-SEPT ANS. C'EST BEAU COMME ÂGE, NON? J'HABITE DANS LE QUARTIER NORD DE VENISE. |
|
DO I TELL YOU MY NAME ? PSEUDO : Paperback SEXE : Si vous connaissez des filles qui s'appellent Elodie, je veux bien manger un hippogriffe. AVATAR : Taylor Momsen Je peux la réserver plz?
Dernière édition par Giulia Barzoni le Dim 13 Déc - 12:07, édité 2 fois | |
|
Giulia Barzoni
Messages : 11 Date d'inscription : 12/12/2009 Pseudo : Paperback
| Sujet: Re: GIULIA ♦ La dame du Carnaval. Sam 12 Déc - 17:01 | |
| HELLO, EVERYBODY
Décalée. Loufoque. Dépourvue de conscience. Incroyablement absurde. La plupart de son temps libre, Giulia le passe à se déguiser. Il n’est donc pas rare de la voir déambuler dans tout Venise coiffée d’oreilles de lapins ou encore déguisée en princesse. Ça l’amuse, ça l’occupe. On dirait une enfant. Oh, mais une enfant très intelligente vous savez. Giulia est loin d’être bête. Beaucoup de personnes ne la comprennent pas, Giulia. Ils avancent des mots comme schizophrénie, mais Giulia ce n’est pas une histoire de « psychose délirante ». Dans son cas, on parle donc plus de gamineries ou de bêtise. C’est en tous cas le point de vue des adultes. Mais vous voulez savoir une chose ? Ils se trompent. Giulia s’amuse, elle vit, elle profite. Elle est imprévisible. Quand elle se couche, elle ne sait jamais de quoi sera fait son lendemain, et c’est ça qui est excitant, c’est le fait de ne pas savoir et de devoir attendre le matin pour enfin être au courant. Si, un jour, vous croisez Giulia, je n’ai qu’un conseil à vous donner c’est de ne pas lui adresser la parole. Elle, ce qui l’éclate encore plus de se déguiser, c’est de persécuter les gens, les faire tourner en rond, les envoyer dans de mauvaises directions et observer quelles seront les conséquences. Giulia n’est pas cruelle pour un sou, simplement elle ne connait pas la différence entre le bien et le mal. Elle n’y comprend rien, tout comme les gens ne la comprennent pas elle. Elle est capable de faire perdre la tête aux gens. Mais la pauvre, elle est tellement innocente, elle fait des choses dont les résultats l’amusent, sauf que ces derniers blessent les gens, la plupart du temps. Et quand elle semble s’en rendre compte, c’est trop tard. Rares sont les gens à apprécier Giulia. Personne n’arrive à cerner ses lubies, sauf elle. Bien sur, elle n’est pas capable d’expliquer. Ce serait trop beau.
« Elle a tourné à gauche, elle s’en allait vers Dorsoduro. » L’inconnu au complet élégant regarda G. d’un drôle d’air. « Qui donc ? », lui demanda-t-il d’une voix remarquablement sexy. « La blonde que vous suiviez. » L’homme s’anima. « Vous en êtes sure, n’est-ce pas Mademoiselle ? » Giulia inclina la tête. « Je ne suis pas sure de bien comprendre. De quoi dois-je être sure ? » Le bonhomme commença à s’énerver et tendit un doigt vers une petite ruelle. « Qu'elle est partie pour Dorsoduro ! » « Enfin, expliquez-vous, de qui parlons-nous ? » « Mais de la blonde, fichtre ! », s’impatienta l’homme, « vous m’avez dit qu’elle avait emprunté cette ruelle pour aller vers Dorsoduro, d’accord, mais je veux savoir si vous en êtes sure ! » Elle afficha un air d’incrédulité totale. « Mais Monsieur, cette ruelle ne mène pas à Dorsoduro », dit-elle avec sérieux.
Giulia est née en avril 1992 en Irlande d’une mère française et d’un père italien. Sa mère, Fleur, est tombée enceinte de Giulia par accident. En fait, elle n’avait pas l’intention de poursuivre sa relation avec Lorenzo, le père. C’était une tombeuse d’hommes ; elle n’avait pas pour habitude de se caser. Sauf qu’il y a eu Giulia. Avorter ? Hors de question. La petite n’était pas souhaitée, mais de là à avorter ! Fleur a trouvé l’idée absurde avant même d’avoir pris le temps de bien y réfléchir. Alors pendant neuf mois, elle a porté Giulia en elle. Aimait-elle Lorenzo ? Non. Il la faisait rire, il était gentil. Il la distrayait. Mais elle n’avait pas réussi à l’aimer. Elle a laissé l’imposture s’installer entre elle et Lorenzo. Quand elle a accouché, Lorenzo était rayonnant. Et Giulia –ils s’étaient mis d’accord sur ce prénom- était un très beau bébé. Même Fleur n’a pas pu le nier. L’ennui, c’est qu’elle ne voulait pas que Lorenzo soit le père de ses enfants. Elle ne voyait pas son avenir avec lui. Elle lui a expliqué. Elle a argumenté. Non pas qu’elle était cruelle, mais elle ne voulait pas d’une vie avec Lorenzo. Elle l’a laissé seul avec Giulia. Elle est partie. Lorenzo n’a jamais pu retrouver l’amour. Jamais. Il a dit à Giulia que sa mère était morte en accouchant d'elle. C’était une manière assez méchante de résumer la situation, mais qu’aurait cru Giulia s’il avait su que sa mère l’avait quasiment abandonnée ? Il se serait senti rejeté. Et puis Fleur avait été très claire sur le sujet : « Ne lui parle jamais de moi comme si j’allais revenir un jour. Débrouille-toi pour trouver quelque chose de crédible. » Fleur a toujours eu du caractère et de l’autorité. Pas Lorenzo.
« Embrasse-moi, Drago. » Tout garçon normalement constitué aurait succombé à ce visage d'ange, aussi Drago, malgré sa timidité maladive, entreprit de se pencher jusqu'à ce que ses lèvres effleurent celles de Giulia. Cette dernière recula soudainement. « Mais Drago, qu'est ce qui te prends? » Drago ne parut pas comprendre, son expression laissait clairement comprendre qu'il n'y comprenait rien. « Bela, tu viens de me demander de t'embrasser », balbutia le jeune homme. Tout comme la majorité des amis de Giulia, Drago obéissait à une des règles d'or de la blonde -toujours l'appeler par son deuxième prénom, Bela. Cette dernière regarda Drago sans comprendre. « Je ne crois pas, non », souffla-t-elle d'une voix teintée d'amusement poli. Et elle tourna les talons.
Dernière édition par Giulia Barzoni le Dim 13 Déc - 12:08, édité 6 fois | |
|
Allegra Padrino ALLY ♠ you can see my heart beating
Messages : 160 Date d'inscription : 04/11/2009 Credit : herjuliwii Job : Etudiante en droit. Pseudo : Giulia.
| |
Giulia Barzoni
Messages : 11 Date d'inscription : 12/12/2009 Pseudo : Paperback
| |
Allegra Padrino ALLY ♠ you can see my heart beating
Messages : 160 Date d'inscription : 04/11/2009 Credit : herjuliwii Job : Etudiante en droit. Pseudo : Giulia.
| |
Giulia Barzoni
Messages : 11 Date d'inscription : 12/12/2009 Pseudo : Paperback
| |
Allegra Padrino ALLY ♠ you can see my heart beating
Messages : 160 Date d'inscription : 04/11/2009 Credit : herjuliwii Job : Etudiante en droit. Pseudo : Giulia.
| |
Giulia Barzoni
Messages : 11 Date d'inscription : 12/12/2009 Pseudo : Paperback
| |
Giulia Barzoni
Messages : 11 Date d'inscription : 12/12/2009 Pseudo : Paperback
| |
Allegra Padrino ALLY ♠ you can see my heart beating
Messages : 160 Date d'inscription : 04/11/2009 Credit : herjuliwii Job : Etudiante en droit. Pseudo : Giulia.
| |
Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: GIULIA ♦ La dame du Carnaval. | |
| |
|